La liberté est souvent le nom donné à la sortie facile, au chemin ou aux moyens par lesquels on s’échappe, l’option s’opposant à affronter ce qui est devant vous. La liberté ne réside pas dans l’évitement, mais dans l’acceptation.
L’évitement de l’inévitable n’engendre que l’angoisse, la joie feinte, la joie fragmentaire, le moindre espoir de joie éventuelle. L’acceptation, le défi ayant été relevé et surmonté, induit la joie dans toute sa plénitude – pure, vraie, et décomplexée.