La liberté, comme le chagrin, se mérite. Cela ne vient pas des sacrifices des autres, mais uniquement de vos sacrifices. La liberté pour laquelle vous n’avez pas combattu vous-même est une illusion. Le chagrin que vous n’avez pas gagné par compassion et dévotion est un mensonge.
Mes plus sincères condoléances à tous ceux qui ont perdu des êtres chers dans l’explosion de Beyrouth…