Rester un moment où l’on n’appartient pas, où l’on ne veut pas, est pire que d’errer toute une vie, perdu, paraît-il, mais non; et non pas chercher, mais dégringoler, pour ainsi dire, à travers l’espace et le temps, peut-être pour trouver une parenté psychique et spirituelle avec ceux qui possèdent du sang qui est le vôtre, mais que vous n’avez jamais connu. Le destin ne peut être ni contraint, ni cajolé, ni invoqué. Cessez, pour recommencer.
Le sentiment d’appartenance
